Personnalités de Princeville |
Jacinthe Larivière | Autres personnalités | Maire | Bénévoles de l'année |
Édouard Leclerc | Pierre Prince |
Joseph-Ena Girouard, né à Stanfold en 1855, étudie au Collège
commercial de Princeville et au séminaire de Nicolet, puit fait un stage au cabinet du notaire Louis Lavergne, à Princeville.
Il occupe la fonction d'avocat aux trois cabinets d'Arthabaska, de secrétaire-trésorier d'Arthabaska et de directeur de la
banque Jacques-Cartier. Déménagé à Drummondville, il est élu maire puits député libéral de Drummond-Arthabaska. Il part au
Yukon avec son frère Delphis et leurs amis Ferdinand Beauchesne, Adélard St-Laurent, et William Wadleigh et occupe la fonction
de registraire du territoire. Durant la ruée vers l'or, il devient riche, mais perd tout au poker. Il revient au Québec
pratiquer le droit à Montréal, puis à Arthabaska en tant que shérif du district. Il habite rue Beauchesne. Il épouse Emma E.
Watkins, qui lui donne 6 enfants, puis Cléophile Marcil et enfin Régina Smith. Décédé en 1937, il est inhumé à Arthabaska.
(réf. 13-MON-029, p.71) Joseph-Éna Girouard, Visage du siècle, ET-FBB-024-p27.JPG Joseph-Éna Girouard, Visage du siècle, ET-FBB-024-p27 (d).JPG |
Enveloppe 16-FBB-068 | |
Joseph-Ena Girouard. Né à Stanfold le 17 juin 1855. Fils de Joseph
Girouard, il fut reçu notaire à Stanfold le 19 mai 1881 et s'établit à
Drummond la même
année. Il s'y maria le 6 septembre 1882 à Emma Watkins. Élu député
libéral du comté provincial Drummond-Arthabaska le 4 mars 1886 jusqu'en
1898, et maire de Drummond le 2 mars 1889, le premier maire élu. Il fut
reçu avocat le 9 janvier
1897 et aussi registraire du conseil du Yukon (Klondike) de 1889 à
1908. Sheriff à Arthabaska, ami de Laurier. Emma Watkins meurt le 30
août 1926. Rempli de regrets (?) un mois plus tard il se mariait avec
Régina Suretti à Nicolet. Il mourut le 2 décembre 1937 à 82 ans à
Arthabaska ou il est enterré. Est-ce Régina Smith ou Régina Suretti. Girouard Joseph-E., 16-03.JPG Girouard Joseph Éna né à Princeville 17-06-1855 reçu notaire à Princeville le 19-05-1881 s’établit à Drummo, 15-23.jpg |
Expo 1998 - Film 15 et 16 Carton Noir B5 -28 |
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GIROUARD, Joseph-Éna (1855-1937)
Né à Stanfold en 1855, Joseph-Éna Girouard, qu'on disait ami personnel de Wilfrid Laurier, y fut notaire en 1881. La même année, il quitte pour s'établir à Drummondville, où il sera nommé maire en 1889. Entre-temps, soit en 1886, il est élu député libéral provincial du comté de Drummond-Arthabaska. En 1898, il démissionne pour prendre le poste de registraire du Yukon que lui offre Laurier. À ce titre, c'est à lui que revient la charge de concéder les terres dans le cadre de la ruée vers l'or que connaît alors la région. Après dix ans là-bas, il revient pratiquer le droit à Montréal qu'il quitte en 1916 pour s'installer définitivement à Arthabaska. |
Livre du 150e, p.311 | Livre 150 iem |
Laquelle ? Epouse de Joseph-Ena Girouard, LB39-P16.JPG |
LB G.-P N. | |
Joseph-Ena Girouard, LB12-P125.JPG | LB G.-P N. | |
Joseph-Ena Girouard, raconte par son petit fils Jean Genest, LB12-P124.JPG Joseph-Ena Girouard, Jean Genest, LB12-P126.JPG |
LB G.-P N. | |
Urgel Méderic Poisson, premier médecin de Stanfold, 19-DIV-061, p.472.JPG | Livre 19-DIV-061 | |
Urgèle-Médéric Poisson, premier médecin, 19-DIV-061, p.54.JPG | Livre 19-DIV-061 | |
Suzor Coté a son atelier de Montréal, CL-PER-011.JPG | Classeur - PER Livre 19-DIV-060 p.352 | |
Suzor Coté, visage d'un siècle.jpg | Livre 32-FMT-001 |
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Joseph Lavergne et Louis Lavergne, (photos), 19-DIV-061, p.129.JPG | Livre 19-DIV-061 | |
Il a été maire de Princeville à trois reprises.
Louis Lavergne, Visage du siècle, ET-FBB-024-p36.JPG Louis Lavergne, Visage du siècle, ET-FBB-024-p36 (d).JPG |
Enveloppe 16-FBB-068 | |
LAVERGNE, Louis (1845-1931)
Notaire à Princeville de 1871 à 1887, Louis Lavergne rejoignit également l'étude légale de Laurier. II fut député à Ottawa puis sénateur. |
Livre du 150e, p.312 | Livre 150 iem |
Louis Lavergne, 19-DIV-061, p.450.JPG | Livre 19-DIV-061 | |
Hon.
Juge Joseph Lavergne. Avocat, Joseph Lavergne a pratiqué à Princeville
de 1872 à 1874. Il est né le 28 octobre 1847 de Louis-David Lavergne et
de
Marie-Geneviève Delagrave. Admis au barreau en janvier 1872, il
s'établit immédiatement à Princeville. En 1874, il forma une société
légale avec Sir Wilfrid Laurier à Arthabaska. Il fut député
d'Arthabaska aux communes de
1887 à 1897, années ou il fut nommé juge de la Cour Supérieure. Il
décéda à Montréal le 9 janvier 1922. Il était le frère du sénateur
Louis Lavergne. Lavergne Joseph, 15-14.jpg Joseph Lavergne, 19-DIV-061, p.451.JPG |
Expo 1998 - Film 15 Carton Noir B5 -24 Livre 19-DIV-061 |
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LAVERGNE, Joseph (1847-1922)
Avocat à Princeville de 1872 à 1874, Joseph Lavergne rejoint l'étude de Laurier à Arthabaska à ce moment. II fut député, juge à la Cour supérieure de Hull et de Montréal et juge à la Cour du banc du roi (devenue Cour d'appel). |
Livre du 150e, p.312 | Livre 150 iem |
Paru dans L'union des Cantons
de l'est en 22 aout 2001, dans le cahier souvenir. Joseph Lavergne.jpg |
Journal | |
Joseph Lavergne, LB01-P81_1.JPG | LB G.-P N. | |
Joseph Lavergne visite son comté «pour rendre comte à ses électeurs de sa conduite parlementaire». Il est passé par Stanfold, Tingwick et Sainte-Hélène. Demain, il sera à Saint-Guillaume et Saint-Bonaventure. | No d'identification : 11 911 L'Union des Cantons de l'Est, vol. 23, no 30 (27 juillet 1889) : 2. |
Journal |
Épouse de Joseph Lavergne, article de Alain Bergeron. Émilie Barthe, CL-PER-056, p1.jpg Émilie Barthe, CL-PER-056, p2.jpg |
Classeur - PER | |
Il y a des documents supplémentaires dans la section 'Villes périphériques' sous-section 'Arthabaska'. Groupe avec Wilfrid Laurier, 23-18.jpg |
Expo 1998 - Film 23 | |
LAURIER, Sir Wilfrid (1841-1919)
Si le nom de Sir Wilfrid Laurier, premier ministre du Canada (1896-1911), doit être retenu par la population de Princeville, ce n'est pas parce qu'il y est né ou qu'il y a vécu. C'est plutôt qu'à l'époque où il pratiquait le droit à Arthabaska, il a de nombreuses fois agi à titre de conseiller juridique de la muni-cipalité. |
Livre du 150e, p.312 | Livre 150 iem |
Wilfrid Laurier à Princeville vers 1900.jpg | Livre 13-MON-029 p.26 | |
Alphonse Désilets, visage d'un siècle.jpg | Livre 32-FMT-001 |
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Joseph-Albert Forand, visage d'un siècle.jpg | Livre 32-FMT-001 |
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Louis-Philippe Hébert, visage d'un siècle.jpg | Livre 32-FMT-001 |
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Dr. Joseph Bettez et Dr. Louis-J. Gravel, 19-DIV-060, p. 257.jpg | Livre 19-DIV-060 | |
Premier médecin des Bois-Francs. Dr. Joseph Bettez, 19-DIV-060, p.357.JPG |
Livre 19-DIV-060 | |
Dr.
Louis-J. Gravel. Médecin à Stanfold de 1868 à 1878. Louis était marié à
Jessie Bettez de Somerset depuis quatre ans quand il déménagea à
Stanfold.
C'est ici que le couple donna naissance à Pietro. Arrivés à Arthabaska
avec huit enfants, ils se lièrent d'amitié avec les Lavergne et Wilfrid
Laurier qui fut le parrain de l'un de leurs enfants. En plus d'être le
médecin-coroner
du district, il fut le premier médecin attaché à l'Hôtel-Dieu
d'Arthabaska. Dr Gravel Louis J., 13-01.jpg Dr Gravel Louis J., 12-22.jpg |
Expo 1998 - Film 13 Carton Noir B5 -10 |
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Docteur Louis-Joseph Gravel, LB01-P62_1.JPG Docteur Louis-Joseph Gravel, LB01-P62_2.JPG Dr. Louis-Joseph Gravel, 19-DIV-060, p.348 à 352.JPG |
LB G.-P N. Livre 19-DIV-060 |
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Docteur Louis-Joseph Gravel, LB01-P80.JPG Docteur Louis-Joseph Gravel, LB01-P80_2.JPG |
LB G.-P N. | |
Jessie Bettez-Gravel. Jessie était l'épouse du docteur Louis Gravel. Ils
se rencontrèrent alors que Jessie avait 13 ans et en repartant, Louis
Gravel dit - "Je viendrai la chercher un jour". Veuf d'un premier
mariage, Louis épousa Jessie à Somerset le 2 juillet 1864. Le couple
eut 14 enfants. Gravel Jessie Bettez, 12-23.jpg Mme Jessie Bettez-Gravel, 19-DIV-060, p.353 et 354.JPG Jessie-Bettez Gravel, LB01-P64.JPG |
Expo 1998 - Film 12 Album brun 98 - PER Livre 19-DIV-060 LB G.-P N. | |
Ici c'est le fils du docteur qui est partis fondé Gravelbourg. Docteur Louis-Joseph Gravel, LB01-P63.JPG |
LB G.-P N. | |
Louis-Pietro (Pierre) Gravel. Louis-Pierre Gravel. Louis-Pietro (Pierre) Gravel, 03-FGN-035, P.109.JPG Joseph Pietro Gravel, LB01-P61.JPG |
Livre 03-FGN-035
LB G.-P N. Livre 05-FGN-045 Livre 12-FFB-007 p.15 |
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GRAVEL, Louis-Pierre (1868-1926)
Né à Princeville, Louis-Pierre Gravel est le fondateur de Gravelbourg en Saskatchewan. II était le fils de Louis Gravel, médecin de Princeville entre 1868 et 1878, et de Jessie Bettez. |
Livre du 150e, p.311 | Livre 150 iem |
Louis-Pietro (Pierre) Gravel. Il fonda la paroisse de Gravelbourg dont
il fut le curé. Pietro est né à Princeville le 8 août 1868, du docteur
Louis Gravel et de Jessie Bettez. Il fut ordonné prêtre à Arthabaska en
1892. Le lendemain, il fut nommé vicaire de la paroisse
St-Jean-Baptiste à New-York ou il demeura 13 ans. A la demande de
l'évêque de St-Boniface de Sasketchewan, il se fit missionnaire dans ce
diocèse et fonda Gravelbourg (nommé en son honneur). En 1911, durant le
seul mois d'avril, on estime à 3000 canadien-français qui s'établirent
dans l'ouest suite à la sollicitation de l'abbé Gravel. Lors de son
décès, le 10 février 1926, il était missionnaire-colonisateur pour le
diocèse de Régina. Louis-Pierre Gravel. Gravel Pietro, 12-21.jpg |
Expo 1998 - Film 12 Carton Noir B5 -33 Livre 19-DIV-060 p.256 | |
Jobin Louis, entre 30 et 35 ans, 44-06.jpg | Expo 1998 - Film 44 |
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Louis Jobin, sculpteur-statuaire. Le plus célèbre du Québec et auteur de la statue extérieure de St-Eusèbe.
Louis-Jobin , sculpteur-statuaire, CB-PAR-001.jpg Jobin Louis , une des premières photos, 44-07.jpg |
Album brun 98 - PAR Expo 1998 - Film 44 |
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Dans l'église de Ste-Gertrude, le chemin de croix est de l’artiste Joseph Uberti, peintre et architecte décorateur de Paris.
Une lettre en date du 3 octobre 1911, confirme la commande des quatorze stations peintes en huile sur toile, signées par l'artiste, avec leur cadre de bois peint et doré. La somme totale pour l’ensemble de l’œuvre est de 350.00$.
Les notes historiques des architectes Caron de Nicolet indiquent que l’artiste Joseph Uberti est venu au pays pour réaliser des contrats en leur faveur. Il a produit des peintures sur toile pour la cathédrale de Nicolet en 1909-1910. On peut aussi admirer ses oeuvres dans l’église Ste-Victoire de Victoriaville .
Uberti Joseph avec Caron, 44-22.jpg |
Expo 1998 - Film 21 | |
Uberti Joseph, peintre, 44-08.jpg | Expo 1998 - Film 44 | |
James Houston Union des Cantons de l'est (14 dec. 1889) : 2-3 1889, 12-14 p2-p3, James Huston.jpg |
Journal | |
1864-1872 |
F.X. Pratte, notaire. Il a été le premier notaire de Stanfold où
il a pratiqué de 1844 à 1872. Né à St-Grégoire en 1818, il a épousé une
demoiselle Beaudet. Reçu notaire le 30 avril 1844, il vint aussitôt
s'installer à Stanfold où il mourut le 1er avril 1873. Il a été
marguillier, maire du village de Princeville et membre du conseil du
comté d'Arthabaska. En 1867, lors des élections générales, sa
candidature fut offerte, mais il refusa cet honneur. Pratte, F.-X., premier notaire de Stanfold, 23-12.jpg |
Expo 1998 - Film 23 Carton Noir B5 -20 |
F.X. Pratte et Napoléon Pratte Union des Cantons de l'est (11 fev. 1898) : 2-3 1898-02-11 p2-p3, famille Pratte_1.jpg 1898-02-11 p2-p3, famille Pratte_2.jpg |
Journal | |
Louis-Étienne-Napoléon Pratte, Antonio Pratte, Évariste Pratte, Leur père serait François-Xavier Pratte. Pour des photos de piano, aller voir la section antiquité. La famille Pratte, CL-PER-055.JPG |
Classeur - PER | |
On attire l'attention sur un article tiré d'un journal new yorkais, le «Music and Drama», qui relate sa rencontre avec un jeune marchand de pianos de Montréal, il est originaire de Stanfold L.E.N. Pratte. M. Pratte parle de son expertise en matière de pianos et d'orgues et de son magasin de la rue Notre-Dame, à Montréal, qui comprend un stock considérable. L.E.N. Pratte a sa publicité à chaque page 3 de l'Union des Cantons de l'Est (voir remarque). - Article tiré du «Moniteur du Commerce» du 9 nov. 1883, vantant les mérites de la maison de pianos de L.E.N. Pratte de Montréal, qui est l'une des meilleures et qui a su inspirer la confiance de la clientèle. Chaque pièce est fabriquée spécialement pour lui et examinée avec soin. Sa marchandise provient de la fabrique Dominion de Bowmanville (Ontario) ou de la fabrique Hazelton (New York) (17, 52, p. 2). - Autre lettre de satisfaction, 8 mars 1884 (18, 13, p. 2). - On présente un extrait du rapport des juges des instruments de musique à l'Exposition de la Puissance de Montréal en 1884, qui prouve que la maison de L.E.N. Pratte de Montréal est toujours au premier rang en ce domaine (liste de certains modèles d'orgues et de pianos et de leurs améliorations) (19, 6, p.2). | No d'identification : 13 063 L'Union des Cantons de l'Est, vol. 17, no 34 (04 août 1883) : 2 (suite: 17, 52, p. 2; 18, 13, p. 2; 19, 6, p. 2). |
Journal |
Union des Cantons de l'est (12 mai 1911) : 2-3 1911-05-12 p2-p3, Louis Étienne Napoléon Pratte.jpg |
Journal | |
François-Xavier Pratte, 19-DIV-060, p.346.JPG | Livre 19-DIV-060 | |
François-Xavier Pratte, premier notaire, 19-DIV-061, p.54.JPG | Livre 19-DIV-061 | |
Joseph Girouard, Émilie Descormiers, Célina Pacaud, Charles Pacaud, Raoul Girouard, Théophile avait plusieurs scieries dans la province. Il était capitaine de milice (policier) et juge de paix. A été maire de Princeville pendant 7 ans. Il a traversé l'océan 30 fois. On peut trouvé d'autre documentation dans la section famille. Avec James Huston et le Dr. Gravle ont fondé 'La cie manufacturière de Stanfold' une fabrique de chaussures. Théophile Girouard, fiche.jpg |
Internet | |
Baptisé Irénée Bernard. François Bordeleau (père). Rosanna Morin Charles-Alphonse Bordeleau Antoniella Bordeleau Marie-Louise Bordeleau Valentine Bordeleau Camilien Bordeleau Lazare Beordeleau Moïse Bordeleau Hermann Brunault Pape Grégoire XVI. Il a eu un magasin général pendant environ 39 ans, soit de 1882 à 1921. Distinction papale en 1934 Bene Merenti. Alphonse Bordeleau, fiche.jpg |
Internet | |
Edmond
Thiboutot. Entrepreneur en construction de toutes sortes, il a déjà eu
jusqu'à cent employés sous ses ordres. Parmi ses réalisation, il faut
citer :
le monument Charles Héon, le barrage Girouard, le deuxième Hôtel de
ville de Princeville, la maison du notaire Boudreau, de Fernand Baril
et de Marcel Raymond, l'Hôtel des Érables, Les tricots Duval &
Raymond Ltée, la
Quincaillerie St-Pierre inc. Il a définitivement laissé sa marque. Son
mariage avec Alma Beaudet a été le premier célébré dans l'église
actuelle. Auparavant, il s'est cassé une jambe en attachant un câble
dans l'oeil-de-boeuf
de la première église, lors de sa démolition. Thiboutot Edmond, overexposed, 21-10.jpg Thiboutot Edmond, overexposed, 21-11.jpg |
Expo 1998 - Film 21 Carton Noir B5 -14 |
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Photo Musée McCord : Georges-Jérémie, Georgiana et Susanne, 1864 PACAUD, GEORGES-JÉRÉMIE (1816-1896) Georges-Jérémie Pacaud, bourgeois, né à Batiscan, Québec, le 31 mars 1816, décédé à Princeville, Québec, le 16 septembre 1896. Il avait épousé Marie-Georgiana C. Mondelet à Montréal en 1853. Enterré au Cimetière Mont- Royal. Georges-Jérémie Pacaud et Eve Mondelet Pacaud et sa femme.jpg |
Disque patrimoine | |
PACAUD, Georges-Jérémie ( ? -1896)
Issu d'une famille bien en vue au pays, Georges-Jérémie Pacaud était un homme d'affaires influent de Stanfold. L'histoire locale retiendra son nom pour avoir nié l'infaillibilité du pape, ce qui fit scandale à la grandeur du pays. Georges-Jérémie Pacaud est né à Batiscan entre 1817 et 1821. Incidemment, nous n'avons pu repérer de document qui nous aurait permis de préciser l'année exacte. Du reste, il n'a pas été simple d'identifier celle de sa mort. Quoi qu'il en soit, il reçut, à l'instar de ses frères, une éducation libérale, marquée aux idées nouvelles de France que véhiculaient les livres de la maison. Quand vint l'insurrection de 1837, les frères Pacaud y étaient, au premier rang d'ailleurs plutôt qu'en seconde ligne. Une fois la tourmente passée, cinq d'entre eux s'établirent dans les Bois-Francs : deux à Arthabaska, un à Saint-Norbert et deux à Stanfold (Georges-Jérémie et Charles-Adrien). Leurs idées libérales, leur zèle à les défendre heurtèrent cependant de plein fouet les idées qui prévalaient localement. Très tôt, le clergé conservateur les prit en grippe. Georges-Jérémie, plus spécialement, n'avait pas la réputation de garder pour lui ses opinions, ce qui l'opposait directe-ment au curé d'alors qui n'hésitait pas à pourfendre en chaire les libéraux. La coupe déborda quand le Concile Vatican I proclama l'infaillibilité du pape. En fait, l'histoire commence quand lors d'une confession, le curé tente de convaincre Mme Pacaud (Ève Mondelet) de la pertinence du dogme. C'était mal calculé, la dame ne voulait rien savoir. La situation s'envenima, les cris et les insultes fusèrent de toutes parts. Finalement, Mme Pacaud quitta les lieux en claquant des talons. C'est ici qu'éclate le scandale. Rappelons-nous, la famille Pacaud est une famille bien en vue au pays. La presse protestante anglophone fait ses choux gras de l'histoire, d'autant que Georges-Jérémie et son épouse adhèrent désormais à la religion anglicane. Dès lors, ils vivront à l'écart. Georges-Jérémie décédera à Princeville le 16 septembre 1896 et sera inhumé à Montréal. |
Livre du 150e, p.313 | Livre 150 iem |
Georges-Jérémie Pacaud et Eve Mondelet Pacaud_1.jpg Document PACAUD_Georges_Jeremie_siteW.pdf |
Disque patrimoine | |
Georges-Jérémie Pacaud et Eve Mondelet Pacaud_2.jpg Document PACAUD_Georges_Jeremie_siteW.pdf |
Disque patrimoine | |
Georges-Jérémie Pacaud et Eve Mondelet Pacaud_3.jpg Document PACAUD_Georges_Jeremie_siteW.pdf |
Disque patrimoine | |
Georges-Jérémie Pacaud et Eve Mondelet Pacaud_4.jpg Document PACAUD_Georges_Jeremie_siteW.pdf |
Disque patrimoine | |
L’infaillibilité pontificale. C’est l’épouse de Jérémie Pacaud, Gcorgiana Mondelet, fille du juge Mondelet, qui mit le feu aux poudres. Elle tenait chez elle un salon littéraire dans sa belle maison de Princevillc. Elle y recevait l'élite libérale locale. On est au courant de ce qui se passe ailleurs et on n'est pas tendre pour le clergé ultramontain, qui pour sa part fait des pieds et des mains contre les libéraux parce qu'on craint que ce courant n'amène la laïcisation de la société (lui faisant évidemment perdre son pouvoir qu'il juge supérieur à celui de l'État). L'année même de sa proclamation, le cercle littéraire se prononce ouvertement contre le dogme de l'infaillibilité papale. À l'occasion d'une confession, le curé (de Saint-Eusèbe de Stanfold) l'accuse ouvertement de refuser de se soumettre. Que les pères du Concile pouvaient se passer de ses opinions sur la question et il lui refuse l'absolution. Le ton monte à la sacristie devant d'autres fidèles et M.Pacaud quitte l'église en furie. Le couple devient ouvertement anglican. Étant donné l'importance de ces personnages, la presse anglo-protestante souligna ce différend. Ostracisés par la communauté (dit Edmond LaVergne), les Lavergne auraient habité une maison hantée par le diable. Edmond LaVergne poursuit : "Cela n'empêchait nullement 1a petite société d'Arthabaskaville de venir en bande, danser chez les Pacaud. Champagne et valses s'accordaient très bien." Pour cet auteur, "catholique et français" sont inséparables selon la version ultramontaine du nationalisme d'alors. Donc, inévitablement, ajoute-t-il, "9e couple vécut à l'écart, ne recevant que des amis anglais de Montréal, de Québec et d'Arthabaska." En parfaite contradiction avec ce qu'il vient d'affirmer quelques lignes plus haut. (P.130 et 131 , livre 42-FFT-002) Ailleurs, il dit encore qu'un certain Théophile Girouard, commerçant de bois important dans la province, possède plusieurs scieries dont celles de Betsiamis et de Princeville. Ou recevait, dit-il, chez madame Girouard, fille de Charles Pacaud et de Céline Boucher de la Bruyère. Femme du monde et amis de la distraction, sa porte était largement ouverte, durant les longues absences de son mari, qui voyageait pour affaires même en Europe. Le whist, ce noble père du bridge, faisait le bonheur des familles bourgeoises de princeville et d'Arthabaskaville qui se fréquentaient beaucoup. On dansait quelquefois chez Mme Girouard et chez Mme Jérémie Pacaud de Princeville, lorsque la jeunesse y était conviée. Le curé tonnait bien le dimanche suivant, les dévotes chuchotaient une semaine durant, puis tout rentrait dans l'ordre jusqu'à la prochaine fois (p 43). Donc, même chez ces libéraux catholiques, l'heure n'est pas à la soumission. "La famille Pacaud a fait beaucoup pour le développement des Bois-Francs, pour les cantons de Stanfold et d’Arthabaska en particulier. Elle n'a pas semé en vain [...]." On voit que son épouse en mène large dans ce mi lieu. Anglicane, la famille le restera jusqu'à la fin. Georges-Jérémie est décédé à Princeville (Standfold) le 26 septembre 1896 à l'âge de 80 ans. Son épouse Marie-Georgiana, beaucoup plus jeune que lui (11 mars 1837 ), le suivra dans la tombe près de quinze ans plus tard, le 11 mai 1910. L'obélisque de la famille au cimetière Mont-Royal à Montréal rappelle à tous le passé patriote de son mari. De nombreux autres membres de la famille les y accompagnent, certains ayant gardé cette tradition jusqu'à nosjours (ainsi Georges-Washington Pacaud, (1869-1927) et son épouse Henriette Fauteux (1880-1923). Plusieurs Mondelet se sont alliés avec la famille Pacaud dans cette lignée protestante. La dernière inscription du monument étant Lucille Pacaud (1907-2013, 106 ans, restée Célibataire).» (Société d'histoire du protestantisme franco-québécois)" (P.131 du livre 42-FFT-002) |
Georges-Jérémie Pacaud et Eve Mondelet Pacaud_5.jpg Document PACAUD_Georges_Jeremie_siteW.pdf |
Disque patrimoine |
Georges-Jérémie Pacaud et Eve Mondelet Pacaud_6.jpg Document PACAUD_Georges_Jeremie_siteW.pdf |
Disque patrimoine | |
Georges-Jérémie Pacaud et Eve Mondelet Pacaud_7.jpg Document PACAUD_Georges_Jeremie_siteW.pdf |
Disque patrimoine | |
Architecte, né le 27 août 1830 à Québec, fils de John William (Jean-Guillaume) Peachy, tailleur, et de Marie-Angélique Roussel ; décédé le 31 décembre 1903 dans la même ville.
Peachy, Joseph Ferdinand-34-00.jpg |
Expo 1998 - Film 34 Livre 05-FGN-045 Carton Noir B3 -19 | |
Louis Caron, Visage du siècle, ET-FBB-024-p12.JPG Louis Caron, Visage du siècle, ET-FBB-024-p12 (d).JPG |
Enveloppe 16-FBB-068 | |
CARON, Louis.
CARTES & PLANS: originaux . 1911. 7 pièces. ÉTENDUE LINÉAIRE /NOMBRE DE PIÈCES: 7 pièces. (a voir/ et récupéré ***) Louis Caron est né le 5 février 1871 à Stanfold (Princeville) du mariage de Louis Caron, architecte, et de Césarie Desrochers. En 1886, la famille vient s'établir à Nicolet. C'est dans ces années que furent mises sur pied la compagnie de construction Louis Caron et Fils Limitee et la manufacture de bois ou l'on produisait les divers ouvrages de sculpture nécessaires à la réalisation des édifices. Au meilleur de sa production la manufacture employait plus de deux cents personnes. Louis Caron a construit 34 églises dont plusieurs dans le diocèse de Nicolet. Bien que spécialisé dans la construction d'églises, Louis Caron a aussi construit plusieurs édifices publics et quelques maisons de communautés religieuses. En 1907, Louis Caron est élu conseiller de la ville de Nicolet. Deux ans plus tard, il sera élu maire et le demeurera jusqu'à son décès. Le 13 juillet 1893 il épouse à Nicolet, Eugénie Roy. De ce mariage sont nés onze enfants. Louis Caron est décédé à Nicolet le 18 février 1926, à l'âge de 55 ans. Après son décès, la manufacture est vendue et la compagnie dissoute. Cette collection est un don de M. Edouard Lair en 1988. •TITRES DE SÉRIES: Plans de l'école des Frères de la Doctrine chrétienne: originaux . 1911. 7 pièces. ACCESSIBILITÉ: Libre. INSTRUMENTS DE RECHERCHE: Répertoire sommaire. |
No d'identification : No d'identification : 9 090 Archives du Séminaire de Nicolet. Archives du Séminaire de Nicolet / État général des fonds et collections conservés aux archives du Séminaire de Nicolet, C251. |
Journal |
Louis
Caron père, architecte. Il a épousé Césarée Desrochers à Stanfold le 7
juin 1869. Riche d'une bonne expérience en construction acquise avec son
père et avec
ses qualités de leader, il réalise le premier hôtel de ville de
Stanfold di "Place du marché" en 1868. Ce fut le début d'une longue
série de réalisations dont la majorité avec sont fils Louis. Il le
seconda pour les plans de
l'église actuelle. Il s'installer à Arthabaskaville en 1874 qu'il
laissera pour Nicolet en 1886, à la demande de l'évêque. Louis et
Césarée ont eu onze enfants. Il est décédé le 15 juin 1917 à l'âge de
69 ans. Caron Louis, père, 25-20.jpg Caron Louis, 26-06.jpg |
Expo 1998 - Film 25 Carton Noir B5 -32 |
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CARON, Louis, premier du nom (1848-1917)'
Louis Caron père et son fils, également prénommé Louis, ont construit à eux seuls une cinquantaine d'églises au Québec, la plupart dans le diocèse de Nicolet. Plus exactement, on en attribue 19 au père et 34 au fils. Parmi celles-ci : Sainte-Victoire, Sainte-Clothilde, Saint-Albert et Sainte-Anne-du-Sault. On leur doit également la très prestigieuse cathédrale de Nicolet, malheureusement démolie à la suite du glissement de terrain dans le cours des années 1950, le musée Laurier, l'ancienne partie de l'Hôtel-Dieu d'Arthabaska, le presbytère d'Arthabaska ainsi que bon nombre de collèges et d'édifices de toutes sortes. Après s'être installé à Princeville en 1868, Louis Caron déménage à Arthabaska, où viendra le chercher l'évêque du nouveau diocèse de Nicolet (1885), Mgr Elphège Gravel, qui prévoit la construction d'églises. C'est ainsi qu'il s'installe en 1886, de façon définitive, à Nicolet, où il construira son usine. Louis Caron est également le « menuisier » qu'avait retenu le conseil du village en 1874 pour construire le marché que l'on appellera par la suite l'hôtel de ville. Heureux de la qualité du travail de Caron, les élus lui avaient accordé un bonus. Note 1 -- Au moment où nous mettions sous presse, Mme Andrée Dricot-Caron de Nicolet préparait un livre sur l'histoire des architectes Caron. |
Livre du 150e, p.310 | Livre 150 iem |
CARON, Louis, deuxième du nom (1871-1926)
Louis, deuxième du nom, est le fils du précédent. Né à Princeville le 5 février 1871, il y fut baptisé sous le prénom de Louis Joseph Polidore. Après avoir assisté son père de nombreuses années, il prit sa relève en 1912. Le population de Princeville retiendra certes son nom pour avoir été un enfant de la place, mais aussi pour avoir construit l'église actuelle. |
Livre du 150e, p.311 | Livre 150 iem |
Louis
Caron fils, architecte. Fils de Louis Caron et natif de Princeville, il
a été l'architecte de l'église actuelle. Il a fait carrière avec son
père avant
de lui succéder à la tête de l'entreprise d'architecte et constructeur
de plusieurs églises au Québec. Époux d'Eugénie Roy, il est né à
Stanfold le 5 février 1871 et est décédé à Nicolet le 18 février 1926 à
l'âge de 55 ans. Caron Louis, fils, 25-21.jpg |
Expo 1998 - Film 25 Carton Noir B5 -30 |
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Louis Caron (fils) , Livre 150 iem p.311.jpg | Livre 150e | |
Jules
Caron, architecte. A la demande de son frère Louis, architecte et
contracteur de l'église, il est venu demeurer à Princeville pour la
durée des travaux de
construction afin d'en faire la supervision. Et c'est à Princeville
qu'est né Jean-Louis, leur second enfant, qui deviendra lui aussi
architecte. Jules Caron a dessiné les plans du deuxième hôtel de ville
de Princeville.
Marié à Blanche Morin, il est décédé en 1942 à l'âge de 56 ans. Caron Jules, 25-23.jpg Caron Jules, 25-24.jpg |
Expo 1998 - Film 25 Carton Noir B5 -29 |
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Jean-Louis Caron. Fils de Jules Caron, superviseur des travaux de
construction de l'église, il est à Princeville en 1913. Il deviendra
plus tard lui aussi architecte.
Il est décédé en 1983. Caron Jean-Louis arch., 25-22.jpg |
Expo 1998 - Film 25 Album brun 98 - PER |
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Félix Baril, Eustache Baril, Lucie Laneuville. L'Union du 9 juin 1981, p.B-12.
Personnage, CL-EVE-021.JPG |
Classeur - EVE Livre 19-DIV-060 p.160 |
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Édouard Leclerc, François Pellerin, Narcisse Béliveau. L'Union du 14 juillet 1981, p.B-12.
Personnage, CL-EVE-022.JPG |
Classeur - EVE Livre 19-DIV-060 p.160 |
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Au centre Jean-Baptiste Marchand, Scholastique Beauchesne, Rosalie Beauchesne, Francois Beauchesne, Prosper Beauchesne. L'Union du 9 juin 1981, p.B-12.
Personnage, CL-EVE-023.JPG |
Classeur - EVE Livre 19-DIV-060 p.160 |
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Mme Lucie Leblanc, Joseph Dubois, et Odile Dorval. L'Union du 14 juillet 1981, p.B-12. Personnage, CL-EVE-024.JPG |
Classeur - EVE Livre 19-DIV-060 p.160 |
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Noel Hébert, Pierre Landry-Bercase, 19-DIV-061, p. 97.JPG | Livre 19-DIV-061 | |
Joseph Noël Hébert (Jean Rivard le défricheur). Antoine Gérin-Lajoie (1824-1882) publie sa première version de Jean Rivard, le défricheur, en 1862, plusieurs croyait
qu'il s'agissait d'une personne réelle. C'est en fait un personnage fictif inspiré de Noël Hébert (1819-1868) de Somerset.
Hébert d'origine acadienne, comme Jean Rivard, est un condisciple de Gérin-Lajoie. Il semble qu'ils aient été assez intimes,
car Gérin-Lajoie est reçu dans la famille Hébert. Noël Hébert est député de Mégantic quand il sert de modèle pour la
création du personnage qui allait devenir myyhique. (réf. 13-MON-029 p.16) Joseph Hebert, Livre 100 iem, p11.JPG |
Livre 100e Livre 19-DIV-061 p.97 |
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A remarquer ici, on parle de Luc Thibodeau alors que dans le livre du 100e on parle de Léon Thibodeau. Il a été maire de Princeville. Pierre Prince, Luc Thibodeau, Joseph Houle, Louis-Eusèbre Richard, 19-DIV-061, p.193.JPG |
Livre 19-DIV-061 | |
Union des Cantons de l'est (15 janv. 1891) : 2-3 1891, 01-15 p2-p3, Léon Thibodeau_1.jpg 1891, 01-15 p2-p3, Léon Thibodeau_2.jpg |
Journal | |
Union des Cantons de l'est (26 nov. 1896) : 2-3 1896-11-26 p2-p3, biographie Joesph Baril_1.jpg 1896-11-26 p2-p3, biographie Joesph Baril_2.jpg |
Journal | |
Union des Cantons de l'est (26 nov. 1896) : 2-3 1896-11-26 p2-p3, biographie Joesph Baril_3.jpg 1896-11-26 p2-p3, biographie Joesph Baril_4.jpg |
Journal | |
Le notaire Joseph Albert Hébert Union des Cantons de l'est (24 nov. 1896) : 2-3 1896-12-24 p2-p3, notaire Albert Hébert_0.jpg 1896-12-24 p2-p3, notaire Albert Hébert_1.jpg |
Journal | |
Le notaire Joseph Albert Hébert Union des Cantons de l'est (24 nov. 1896) : 2-3 1896-12-24 p2-p3, notaire Albert Hébert_2.jpg 1896-12-24 p2-p3, notaire Albert Hébert_3.jpg |
Journal | |
Le notaire Joseph Albert Hébert Union des Cantons de l'est (24 nov. 1896) : 2-3 1896-12-24 p2-p3, notaire Albert Hébert_4.jpg |
Journal | |
Biographie de Jean Roux le plus ancien marchand. Union des Cantons de l'est (15 avril 1897) : 2-3 1897-04-15 p2-p3 no 2, biographie de Jean Roux_1.jpg 1897-04-15 p2-p3 no 2, biographie de Jean Roux_2.jpg |
Journal | |
Biographie de Jean Roux le plus ancien marchand. Union des Cantons de l'est (15 avril 1897) : 2-3 1897-04-15 p2-p3 no 2, biographie de Jean Roux_3.jpg 1897-04-15 p2-p3 no 2, biographie de Jean Roux_4.jpg |
Journal | |
Biographie de Jean Roux le plus ancien marchand. Union des Cantons de l'est (15 avril 1897) : 2-3 1897-04-15 p2-p3 no 2, biographie de Jean Roux_5.jpg |
Journal | |
Joseph Houle, Livre 100 iem, p21.JPG Joseph Houle et Charles Houle, 19-DIV-060, p.286.JPG |
Livre 100e Livre 19-DIV-061 p.193 |
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Narcisse Beliveau, Livre 100 iem, p07.JPG Narcisse Béliveau, fondateur St-Norbert, 19-DIV-061, p.363 et 364.JPG |
Livre 100e Livre 19-DIV-061 p.193 |
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Pierre Landry Bercase, Livre 100 iem, p17.JPG Famille Landry-Bercase, 19-DIV-061, p.389.JPG |
Livre 100e Livre 19-DIV-061 p.97 |
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J'aimerais bien savoir quel est le vrai fondateur de St-Norbert, est-ce Pierre Landry-Bercase ou Narcisse Béliveau ? (q?) Pierre Landry-Bercase, fondateur St-Norbert, 19-DIV-061, p.117.JPG |
Livre 19-DIV-061 | |
Ce n'est pas mentionné dans aucun des articles qui suivent mais il a quitté son poste de maire de Princeville en 1858 pour le poste de shérif.
On y mentionne qu'il a eu un commerce à Stanfold et qu'il a été en charge de surveillant des chemins publics. Auguste Quesnel, maire Princeville, en 1858, 19-DIV-060, p. 64.JPG J.-Auguste Quesnel, 19-DIV-060, p.363 à 368 (0).JPG |
Livre 19-DIV-060 | |
J.-Auguste Quesnel, 19-DIV-060, p.363 à 368 (1).JPG | Livre 19-DIV-060 | |
J.-Auguste Quesnel, 19-DIV-061, p.346 et 347.JPG | Livre 19-DIV-060 | |
Nous avons la carte mortuaire de Désiré O. Bourbeau, mais pas celle de Joseph-Octave Bourbeau. Désiré et Joseph-Octave son frère. J.-O, Bourbeau, 19-DIV-061, p. 97.JPG J.Octave Bourbeau, 19-DIV-061, p.416.JPG |
Livre 19-DIV-061 | |
M. Bourbeau a tenu un magasin à Stanfold quelques années. Joseph-Octave Bourbeau et non Bourdeau. Dans le livre des mariages ont parle de Joseph-Octave Boudreau. Né le 21 juillet 1836 à St-Pierre-Apôtre de St-Pierre-les-Becquets. Fils de Lazare Bourbeau et de Edesse Gauvreau. Il a épousé le 10 septembre1867, à St-Eusèbe de Princeville, Alphonsine Richard. Il est décédé le 24 juin 1927 à Victoriaville. Il ouvrit en 1862 un magasin général à Victoriaville. J.Octave Bourbeau, 19-DIV-060, p.343.JPG Joseph-Octave Bourdeau, LB01-P52_2.JPG |
Livre 19-DIV-060 LB G.-P N. | |
Crochetière Rosaire, ptre, sergent, 41-01.jpg Crochetière Rosaire, ptre, sergent, 41-02.jpg |
Expo 1998 - Film 41 Livre 19-DIV-060 p.224 |
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Capitaine-abbé Rosaire Crochetière.jpg | Disque patrimoine | |
Rosaire Crochetière, visage d'un siècle.jpg | Livre 32-FMT-001 |
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No d'identification : ??? L'Union des Cantons de l'Est, (31 juil. 1908) : 3. 1908-07-31 p2-p3, l'abbé Crochetière.jpg |
Journal | |
Abbé Rosaire Crochetière, 19-DIV-060, p.375.JPG | Livre 19-DIV-060 | |
Article monté par Alain Bergeron. D'autre appelation : J.-O. Dubuc ou J.O. Dubuc ou J-o Dubuc Joseph Ovila Dubuc (0).gif |
Internet | |
Joseph Ovila Dubuc (1).gif | Internet | |
Joseph Ovila Dubuc (2).gif | Internet | |
Marie-Anna Roberge femme de Georges Philias Nadeau, 05-FGN-045, 13-005.JPG | Livre 05-FGN-045 | |
"Mme Georges-Philias Nadeau de Princeville décorée par Sa Sainteté, en reconnaissance de cinquante années d'aide précieuse aux oeuvres charitables et paroissiales". |
No. Identification : 15 647 L'Union des Cantons de l'Est, vol. 68, no 31 (12 juillet 1934) : 6. Mme G.P. Nadeau et le Bene Merenti, LB33-P23.JPG 1934-07-12, p6, Bene Merenti pour Mme Georges-Philias Nadeau.jpg |
LB G.-P N. |
Médailles Bene Merenti, LB33-P98.JPG | LB G.-P N. | |
Madame F.X. Poisson. Née Alice Morin, elle fut, vers la fin de sa
vie, la grande dame de Princeville, qui portait l'histoire de sa
génération. Elle est née à Princeville le 14 janvier 1886 de François
Morin et de Marie-Desanges Gagnon. Le mariage de ses parents fut
célébré par Mgr Racine, vicaire au Faubourg à Québec et premier curé de
Stanfold. Après un cours d'institutrice, elle dut travailler au magasin
paternel où elle resta 45 ans. Mariée à François-Xavier Poisson le 27
janvier 1920. Ils demeurèrent devant l'hôtel des Érables durant 4 ans
avant d'acheter la maison de Joseph Baril ( aujourd'hui le bureau du
notaire Boudreau - 1998). Elle reçut la médaille BENE MERENTI le 11
octobre 1959. Entrée au foyer St-Eusèbe en 1974, elle décéda le 23 juin
1982. Poisson Mme F.-X. (Alice Morin) oct 1959 décès 23-06-1982 à 96 ans,19-09.JPG |
Expo 1998 - Film 19 Carton Noir B5 -34 | |
Émile
Bélanger, vice-président Princeville Chair, arrivé 1916 décédé 1947 à
69 ans. Gérant de l'abattoir durant 29 ans. En 1916, Émile Bélanger,
alors inspecteur
fromager, a été mandaté par la S.C.A. des Fromagers de Québec pour
relever la situation précaire de l'abattoir. Sa famille le rejoint en
1917. Il resta à la barre de l'abattoir jusqu'en 1945, période durant
laquelle une
prospérité continue a été enregistrée. Il fut aussi co-propriétaire et
vice-président de "Princeville Chair". Il décéda le 9 juin 1947 à l'âge
de 69 ans. Trois enfants lui survivent encore aujourd'hui (1998). A
l'abattoir,
tous l'appelait le "Boss Bélanger", une marque de respect. Bélanger Émile, gérant Coop, co-prop. , 19-22.JPG Emile Belanger, Livre 150 iem p.309.jpg |
Expo 1998 - Film 19 Carton Noir B5 -18 Livre 150e |
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BÉLANGER, Émile (1877-1947)
Peu de temps après sa construction en 1915, la gestion de l'Abattoir coopératif s'avéra fort périlleuse au point où l'avenir de l'entreprise s'en trouva carrément menacé. La Société coopérative des fromagers du Québec, à qui les dirigeants de Princeville demandèrent de l'aide, délégua Émile Bélanger, un inspecteur de beurrerie en qui elle avait pleine confiance. M. Bélanger s'acquitta effectivement de sa tâche de brillante façon au point, du reste, où la population ' profite, encore aujourd'hui, de ses succès. Par ailleurs, M. Bélanger qui était un homme influent, peut être également considéré comme une sorte de guide pour Lionel Baril, à tout le moins comme celui qui l'appuya au moment de faire ses premières armes sur le marché industriel. |
Livre du 150e, p.309 | Livre 150 iem |
André Cloutier, CL-PER-002.JPG M. André Cloutier 1989 - 08-014.jpg |
Classeur - PER Carrousel 8 |
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André Cloutier, 32 ans de service Caissse Pop., CL-PER-007.JPG | Classeur - PER | |
André Cloutier histoire, CL-PER-006.JPG | Classeur - PER | |
André
Cloutier. Secrétaire-trésorier de la ville de 1947 à 1962, il s'est
surtout fait connaître comme directeur de la caisse Populaire. Il a
aussi été maître de
chapelle et a touché l'orgue à l'église. Il est décédé en 2003. André Cloutier, CL-HOT-057.JPG Cloutier André, sec. tr. De la Ville et dir. Caisse, 25-05.jpg |
Classeur - PER Expo 1998 - Film 25 Album brun 98 - PER |
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Lilas Carrière a travaillé de nombreuses années au bureau de poste Lilas Carrière, CL-PER-021.JPG |
Classeur - PER |
Est-ce des docteurs de Princeville, LB26-P13.JPG | LB G.-P N. | |
Dr. Brassard, CL-PER-054.JPG | Classeur - PER | |
Deces du Dr. Brassard, LB28-P46.JPG Docteur Philippe Antoine Brassard, LB03-P13_1.JPG |
LB G.-P N. | |
Dr Philippe Antoine Brassard, LB33-P139.JPG | LB G.-P N. | |
Docteur Paul-Maurice Nadeau. Le docteur Nadeau a été le type du docteur
de famille et arracheur de dents. Natif de Princeville, il y a
pratiqué la médecine
toute sa vie. Il est décédé le 11 mars 1951 à l'âge de 57 ans. Il avait
épousé Germaine Cormier qui lui a donné 4 fils et une fille. Son
dévouement fait encore le sujet de plusieurs conversations. Nadeau Dr. devant son bureau 1945, 27-06.jpg |
Expo 1998 - Film 27 Carton Noir B5 -28 |
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Paul-M. Nadeau, médecin, CL-PER-017.JPG | Classeur - PER | |
Dr.
Jean-Louis St-Hilaire. Le docteur a pratiqué la médecine à Princeville
d'août 1946 à mars 1984. À son arrivée, il s'installe dans le cabinet
de Dr.
Brassard où il tient aussi une pharmacie. En mai 1954, il ouvre
l'hôpital St-Hilaire qui cessera ses opérations le 16 juillet 1977.
Impliqué dans plusieurs mouvements sociaux, à l'instar de son épouse
Régina, c'est dans le
hockey mineur, avec les Pee-Wee, qu'il a laissé sa marque. Son type de
médecine familiale ne lui a pas survécu. St-Hilaire, Jean-Louis Dr., 23-07.jpg |
Expo 1998 - Film 23 Carton Noir B5 -09 |
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Dr. Jean-Louis St-Hilaire, décès, 22 mars 1984, CL-PER-031.JPG Deces du Dr. Jean-Louis St-Hilaire, 1984, LB10-P46.JPG |
Classeur - PER LB G.-P N. |
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Dr. Jean-Louis St-Hilaire, décès, 22 mars 1984, CL-PER-032.JPG | Classeur - PER | |
Dr. Jean-Louis St-Hilaire, décès, 22 mars 1984, CL-PER-033.JPG Décès Dr. Jean-Louis St-Hilaire. J3-1984-03-27. p.C-2.jpg |
Classeur - PER Journal |
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Dentiste Marc St-Hilaire - 08-013.jpg | Carrousel 8 |
Gaulin Évangéliste, 1930- 55 ans, 49-01.jpg Gaulin Évangéliste, 1930 - 55 ans, 49-02.jpg |
Expo 1998 - Film 49 | |
Evangeliste Gaulin et violon, 7-24.jpg | Expo 1998 - Film 7 | |
Évangéliste Gaulin. Un typique de notre communauté. Né le 30 décembre
1875 à St-Malachie, il arrive à Princeville en 1915 et s'installe le
long de la route
263 près de la rivière Blanche (aujourd'hui Raoul Paquet). Afin de
donner de l'ouvrage à ses garçons, il démarre une briqueterie en 1930,
et ses fils deviendront briqueteurs. C'est en 1952 qu'il déménage au
village. Il décède le 28
janvier 1969 à l'âge de 93 ans. Homme jovial, bon raconteur et bon
violoneux. Il restera longtemps dans la mémoire collective. Marcel
Poudrier (photographe) avait gagné un concours dans une revue de
photographie avec cette photo. Evangéliste Gaulin, B5-CN-005.JPG |
Carton Noir B5 -19 | |
M.
Gaulin reçoit la visite des 2 garçons de G.P. Nadeau qui demeurent près
de chez lui, rue St-Jean-Baptiste nord, près de Racine. Guy-Alain Nadeau et Luc-André Nadeau. Gaulin, Évangéliste - 1960 - 11-001.jpg |
Carrousel 11 LB G.-P N., #07-P55 |
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Gaulin, Évangéliste - 1960 - 11-002.jpg | Carrousel 11 | |
Évangéliste Gaulin, 05-FGN-048, CA-00002.JPG | Livre 05-FGN-048 | |
Evangeliste Gaulin, Don de Gerald Godbout.JPG | LB G.-P N. |
Cet article provient du journal l'Union des Cantons de l'est publié le 30 octobre 1958.
On y parle de l'hôtel de ville et du bureau de poste. Président de la ligue du Sacré-Coeur, conseiller pendant 2 mandats. Il arriva en 1926 et tint un commerce général jusqu'en 1955. J.Arthur Morrissette, LB08-P63_1.JPG J.Arthur Morrissette, LB08-P63_2.JPG J.Arthur Morrissette, LB08-P63_3.JPG 1958-10-30, p14-p15, Arthur Morrissette, personnalité_1.jpg 1958-10-30, p14-p15, Arthur Morrissette, personnalité_2.jpg |
LB G.-P N. | |
J.Arthur Morrissette, LB05-P48_1.JPG J.Arthur Morrissette, biographie, LB42-P17.JPG |
LB G.-P N. | |
MORRISSETTE, J: Arthur (1889-1989)
Auteur de Contes et récits des Bois-Francs, publié en 1973, J.-Arthur Morrissette était marchand général à Princeville au cours de la première moitié du présent siècle. Son labeur d'« écrivailleur », comme il disait, débute au moment de sa retraite alors que lui vient l'idée de griffonner ses souvenirs. II écrivit ainsi jusqu'au début des années 1980. Nombre de ses textes ont été publiés dans divers journaux dont les hebdomadaires locaux et quelques quotidiens comme le journal Le Soleil le 22 décembre 1981. |
Livre du 150e, p.312 | Livre 150 iem |
J.Arthur Morrissette, LB08-P69.JPG | LB G.-P N. | |
J.Arthur Morrissette, 1995-1996, LB20-P147 (0).JPG J.Arthur Morrissette, 1995-1996, LB20-P147 (1).JPG J.Arthur Morrissette, 1995-1996, LB20-P147 (2).JPG |
LB G.-P N. | |
J.Arthur Morrissette, 1995-1996, LB20-P149.JPG J.Arthur Morrissette, 1995-1996, LB20-P149 (1).JPG |
LB G.-P N. |
Georges Bechard, LB08-P186.JPG | LB G.-P N. | |
Georges Bechard, en 1979, LB08-P186_1.JPG | LB G.-P N. | |
Georges Bechard, LB08-P184.jpg | LB G.-P N. | |
Georges Bechard, LB08-P185.JPG | LB G.-P N. | |
Georges Bechard, LB08-P185_1.JPG | LB G.-P N. | |
On retrouve ce même article dans le scrapbook 1 de Mme Tousignant. Georges Bechard, LB08-P187.JPG |
LB G.-P N. | |
Hommage a Georges A. Bechard, LB26-P127.JPG Georges Bechard, LB08-P188.JPG |
LB G.-P N. | |
Georges Béchard , journaliste.jpg | Livre 32-FMT-001 |
Georges-P. Nadeau , 1926-1998. Avant de passer du côté de l'histoire,
tu as tenu vivant le quotidien de notre passé collectif ; la "petite
histoire".
Notre futur te sera reconnaissant d'avoir gardé allumé le feu des
passionnés. Georges la flamme ne s'éteindra pas. Le comité de
l'expo-photos. Georges a été le "ramasseux", sinon le conservateur,
d'informations et de
photos diverses sur Princeville. Il a remis sa collection à la
municipalité en 1995. On peut trouver l'histoire de Georges-P. dans la
page les familles. Nadeau George P.16-10-64.jpg |
Disque patrimoine Carton Noir B5 -23 | |
Georges P. Nadeau, 1994, LB17-P55.JPG | LB G.-P N. | |
Georges Philias Nadeau (junior) est né le 4 septembre 1926
de Roméo Nadeau et Simonne Nadeau. Il portait les mêmes prénoms que son grand-père paternel.
Marié à Lèola Levasseur le 2 juillet 1956. Le couple a eu 4 enfants : Luc-André, Guy-Alain, Diane et Suzanne.
Georges a occupé plusieurs fonctions au cours de sa vie : commis de bureau à la coopérative fédérée à Princeville,
préposé à la comptabilité chez Forano à Plessisville, assistant-régistrateur à la cour d'Arthabaska, courtier en assurances
générales et employé au ministère des postes. Il est décédé le 26 mars 1998 à Princeville, et
ses obsèques ont eu lieu le 30 mars. Georges P. Nadeau, 1997, LB21-P0A.JPG |
LB G.-P N. Cartable 05-FGN-048 |
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NADEAU, Georges Philias (2e du nom) (1926-1998)
Georges Philias Nadeau entrera dans l'histoire de Princeville pour avoir été le « ramasseux », sinon le conservateur, d'informations et de photos diverses sur Princeville. Toute sa vie durant, il a pris plaisir à amasser tout ce qui lui tombait sous la main et qui était susceptible de témoigner de l'histoire municipale. II a ainsi préservé d'un éparpillement certain des dizaines et des dizaines de photos remises à la municipalité en 1995 avec divers autres docu-ments. |
Livre du 150e, p.312 ET 313 | Livre 150 iem |
Georges P. Nadeau, collectionneur, LB11-P128.JPG | LB G.-P N. | |
Georges P. Nadeau, LB09-P97.JPG | LB G.-P N. | |
Frère
Bruno Légaré. Le frère Bruno Légaré de la Congrégation des Frères du
Sacré-Cœur, un fils de la paroisse, recevant la médaille de Chancelier
et Compagnon
Principal de l'Ordre du Canada le 17 novembre 1988 des mains de la
gouverneur général du Canada, Mme Jeanne Sauvé. Le Frère Légaré est
missionnaire depuis de nombreuses années. Légaré Bruno, chancelier et compagnon principal de l’Ordre du Canada 17-11-1988, 19-07.JPG |
Expo 1998 - Film 19 Album brun 98 - PER |
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Frere Bruno Legare, 1993, LB15-P171.JPG | LB G.-P N. | |
Pelletier Laurent, remise de médaille, 31-13.jpg | Expo 1998 - Film 31 | |
Laurent Pelletier, recu par la Lieutenant-Gouverneur (1).jpg | Disque patrimoine | |
Laurent Pelletier, recu par la Lieutenant-Gouverneur (2).jpg | Disque patrimoine | |
Laurent Pelletier, recu par la Lieutenant-Gouverneur (3).jpg | Disque patrimoine | |
Laurent Pelletier, recu par la Lieutenant-Gouverneur (4).jpg | Disque patrimoine | |
Laurent Pelletier, recu par la Lieutenant-Gouverneur.jpg | Disque patrimoine | |
Est-ce une personne de Princeville ? (q?) Une citoyenne à l'honneur.jpg |
Disque patrimoine | |
Gervaise Bellavance-Marcoux recevant medaille.jpg | Disque patrimoine | |
Roger et Gervaise Bellavance, 1995, LB19-P106.JPG | LB G.-P N. | |
Roger Bellavance recevant medaille.jpg | Disque patrimoine | |
Les
sacristains Bilodeau et Daigle. De tous les sacristains et bedeaux de
Princeville, Hervé Bilodeau est celui qui est resté en fonction le plus
longtemps
soit 40 ans, bien sonnées. Quand à Léo Daigle, l'actuel sacristain (en
1998) il cumule déjà 10 ans à l'emploi de la fabrique. Sacristains Bilodeau & Daigle 15-04-1998, 27-16.jpg |
Expo 1998 - Film 27 Album brun 98 - PAR |
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Feuillet paroissial, 1969-02-02, sacristain Hervé Bilodeau.jpg | Feuillet paroissial | |
Feuillet paroissial, 1969-03-02, Hervé Bilodeau (sacristain).jpg | Feuillet paroissial | |
Baril, Jacques 1989 - 11-006.jpg | Carrousel 11 | |
Jacques Baril, visage d'un siècle.jpg | Livre 32-FMT-001 |
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Jacques Baril, député, CL-HOT-019.JPG Jacques Baril, 1976, LB08-P153.JPG |
Classeur - HOT LB G.-P N. |
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Jacques Baril, déces de Nicole Baril, 1995, LB19-P126.JPG | LB G.-P N. | |
Marcel
Poudrier. Marcel a copié avec patience plus de 600 photos afin de
construire les 'archives' de l'exposition. Il a également compilé de
nombreuses heures de
recherche afin de pouvoir composer chacun des textes accompagnant les
photos. Marcel est décédé le 9 novembre 2011. Système de copie pour expo-photos, 24-09.jpg Système de copie pour expo-photos, 24-08.jpg |
Expo 1998 - Film 24 Carton Noir B2 -28 |
Regina St-Hilaire, mairesse, CL-HOT-015.JPG | Classeur - HOT | |
CÔTÉ SAINT HILAIRE, Regina (1922- )
Mme Regina Côté Saint-Hilaire entrera dans l'histoire de Princeville pour y avoir été la première femme à accéder à la mairie 2, le 6 novembre 1979. Elle fut en outre directement associée à l'établissement de l'hôpital Saint-Hilaire qu'elle administra et mit sur pied avec son conjoint de toujours, le docteur Jean-Louis Saint-Hilaire. Enfin, Mme Côté Saint-Hilaire est l'auteure de Mémoires et défis où elle raconte ses cinquante années d'engagement à Princeville. Tout comme le livre de Richard Lassonde, celui de Mme Côté est un incontournable pour celui ou celle qui s'intéresse à l'histoire de cette petite communauté. |
Livre du 150e, p.311 | Livre 150 iem |
Régina Coté St-Hilaire, LB09-P80.JPG | LB G.-P N. | |
Régina Coté St-Hilaire, LB09-P83.JPG | LB G.-P N. | |
Régina Coté St-Hilaire, LB09-P84.JPG | LB G.-P N. | |
Regina et son autobiographie, LB32-P160.JPG | LB G.-P N. | |
Régina St-Hilaire et ses mémoires, LB32-P108.JPG | LB G.-P N. | |
Régina St-Hilaire et son livre, LB32-P109.JPG | LB G.-P N. | |
Régina St-Hilaire et son livre, LB32-P122.JPG | LB G.-P N. | |
Régina St-Hilaire, 1997, LB21-P104.JPG | LB G.-P N. | |
Regina St-Hialire, 1997, LB21-P119.JPG Régina St-Hilaire, 1997, LB21-P119.JPG |
LB G.-P N. | |
A reçu la médaille commémorative du 125iem de la confédération du Canada, en reconnaissance de sa contribution au bien-être de ses compatriotes et sa communauté. Georges-Édouard Carignan fils de Georges Carignan.JPG | Disque patrimoine |
Jacinthe Larriviere IMG_0609.jpg |
Disque patrimoine | |
Jacinthe Larivière |
Disque patrimoine |